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ECOLOGY
Palais de Tokyo
La crinoline inflammable est une talking piece autour de la réflexion sur la consommation
Environ 12 700 allumettes ont été enchâssées dans les textiles
C’est une collection de vêtements inflammables
Les vêtements ont étés imaginés, créés, cousu, et présentés avec le grand public du musée
Des matériaux triviaux et quotidiens sont utilisés
La performance a eu lieu dans le musée d’art contemporain le Palais de Tokyo à Paris
Une fourrure inflammable est créée à partir d’allumettes enchassées
La performance a pris lieu au sein de l’œuvre «Flamme Éternelle» de Thomas Hischhorn
Un sautoir en cigarettes se porte autour du cou
Le dos détissé en toile de Jouy est brossé avec un peigne
Une robe sérigraphiée d’un motif en toile de Jouy et une fourrure de feu sont portées
Le haut inflammable rouge se porte sur le coeur
Les vêtements ont été fabriqués autour de discussions de sensibilisation à l’aide des visiteurs du musée
L'œuvre de Thomas Hirschhorn est traversée par des questions de société contemporaine, marquée par la mondialisation
La crinoline inflammable en allumettes et le dos détissé en toile de Jouy
Le collier en cigarettes et le haut en tufe d'allumettes
Le total look détissé en toile de Jouy, et la tunique de baguettes de bois portée par Enfant Précoce, Francis Essoua Kalu
La co-création des pièces furent un acte artistique de sensibilisation à la consommation
Merci à notre équipe talentueuse :Clarck Asseyag, Anthony Darthayre, Clara Chérie, KpargaiParis, Sonia Dems, Manuel Wetzl, Noémie Devime, Anne Verhague, Gabrielle Saget, Séverine Hyvernat, Caroline Azambourg Mathon, Camille Lesaffre, Charlotte Diou, Enfant Précoce Francis Essoua Kalu, David Vitry Ferreira Kinky Banana
Des matériaux et parures inflammables sont des vêtements artistiques
La collection capsule a été présenté dans un décor de matériaux inflammables : pneu, cartons, papiers…etc
Le défilé Avantex X Texworld à Paris présente les innovations textiles
Depuis la fin des années 1980, Thomas Hirschhorn se concentre sur la création de sculptures précaires faites main. Il les conçoit à partir de matériaux issus de la vie courante tels que des vieux papiers, des feuilles d'aluminium, des cartons. Ses sculptures sont souvent des « monuments » à des personnes qu'il admire. Elles requièrent parfois la participation de la population locale, Thomas Hirschhorn refusant d'être un artiste confiné aux salons mondains.
L'œuvre de Thomas Hirschhorn est traversée par les questions, les contradictions et les scandales qui taraudent la société contemporaine, marquée par la mondialisation. L'artiste milite en faveur de davantage de justice et d'égalité.
« Énergie=oui ! Qualité=non ! », affirme l'artiste ; en 2000, lors de la remise du prix Marcel-Duchamp à Hirschhorn, le jury a estimé que :
« le lauréat fait preuve d’une réelle maturité et d’un grand sens de sa responsabilité d’artiste, et de même, que son œuvre relève d’une originalité et d’une inventivité remarquables."
Merci à François Hecquet pour ses photographies
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